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LE SENEGAL SE FICHE DE SES ENFANTS

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«La famille est le milieu le plus dangereux pour l’enfant», selon Claire Brisset

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La prise en charge des droits des enfants n’est pas spécifique dans les média et plus particulièrement dans la presse sénégalaise. C’est du moins ce que révèle l’étude réalisée par les organisations des défenses des droits de l’enfant. Pour imprégner davantage les acteurs concernés, la Cellule d’Appui à la Protection de L’enfance en partenariat avec l’Unicef a animé cet après midi une conférence de presse au Centre d’Etude des Sciences et Technique de l’Information (CESTI).
Placée sous le thème « Ethique journalistique et droit de l’enfant », cette conférence de presse a fait l’objet d’échanges entre étudiants en journalisme / communication et les formateurs. Le représentant de la CAPE, M. Saer en a ainsi profité pour se poser la question de savoir pour quoi les droits des enfants sont ignorés par les principaux acteurs des médias? Ce qui l’amène à se demander aussi si les droits des enfants sont enseignés dans les écoles de formation? «Au cas contraire, il serait tant de l’introduire dans le programme des écoles et instituts de formation aux métiers du journalisme» a t-il précisé. Et le représentant de la CAPE d’ajouter : « Nous veillons particulièrement à la l’application des décisions de l’Etat ».
Selon Mame Less Camara, journaliste et formateur au CESTI, les droits de l’enfant sont bafoués dans les média sénégalais. « Dans notre société, nous ne pensons pas que l’enfant a un droit ». M. Camara précise qu’il y’a une manière toute particulière d’interviewer un enfant. D’où son rapport d’une soixantaine de pages qui a d’ailleurs fait l’objet de cette rencontre. M. Camara soutient tout de même que la question des droits de l’enfant n’est traitée de manière spécifique dans le programme du CESTI. Mais ce sera désormais pris en compte, a-t-il rassuré.
Madame Claire Brisset, ancienne journaliste et défenseur des droits de l’enfant en France déclare que « la famille est le milieu le plus dangereux pour l’enfant ». En termes de violence physique, morale, et même sexuelle, les 9/10 viennent de la famille selon Mme l’animatrice de la conférence. Claire est revenue sur un phénomène qu’on appelle en Haïti « les restes avec ». Ce sont des petites filles de 4 à 5 ans qui vivent avec une famille en tant que domestique ou tout simplement « esclave » car, les domestiques sont rémunérées. Ces filles restent avec la famille toute leur vie d’où le nom « reste avec ».
Une conférence pétrie d’échanges et de partage avec d’éminents connaisseurs dans le domaine des média et qui a pris fin sous les belles notes musicales du groupe de slameurs du CESTI.
Rappelons qu’en prélude de cette conférence un séminaire de formation de trois jours a été initié du 24 au 26 février.
Fatou Sakho/Senenews


L'ONCLE SAM AIME LE SENEGAL...

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L’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal: » Nous avons une grande confiance au processus de réforme constitutionnelle en cours »

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Les détracteurs du référendum du 20 mars ne seront pas du tout enchantés par la position de l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Sénégal sur cette question lancinante.
En effet, réagissant sur les projets de réforme constitutionnels qui agitent actuellement le landerneau politique sénégalais, James Zumwalt a fait part ce lundi à Saint-Louis (nord), de sa confiance au processus de réforme constitutionnelle en cours au Sénégal. Il a aussi salué le débat antérieur au référendum du 20 mars prochain.
«Le Sénégal est un pays avec une très longue tradition démocratique. Nous avons une grande confiance au processus de réforme constitutionnelle en cours et suivons avec beaucoup d’intérêt les débats qui précédent le référendum», a-t-il déclaré à l’APS, en marge d’une cérémonie de clôture d’exercices militaires.
«Le Sénégal est un pays démocratique, qui garantit le respect des droits de chacun de s’exprimer. Cela se traduit dans les médias, où les acteurs politiques et la société civile participent au débat sur le référendum. En définitive, il faudra respecter le choix qui sera fait par le peuple», a souligné James Zumwalt.
Abdoulaye Fall/Senenews

FRUITS DU SENEGAL

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Le Sénégal n’exporte que le dixième de sa production en fruits et légumes

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Macoumba Diouf directeur général de l'horticulture. Le Sénégal n'exporte que le dixième de sa production en fruits et légumes sur le marché international, une situation qui nécessite que certains préalables soient réglés pour l'émergence de ce secteur, a indiqué, mardi, à Paris, le directeur général de l'horticulture,Macoumba Diouf.
"Aujourd'hui, nous produisons 1,133 tonnes de fruits et légumes et n'en exporte que 90 mille, un peu moins du dixième", a-t-il dit.
M. Diouf faisait une présentation sur l'horticulture comme levier pour l'émergence, dans le cadre de l'édition 2016 du Salon international de l'agriculture (SIA) de Paris.
Selon lui, si "on augmente de 5 à 10% au maximum 15% cet
offre exportable en améliorant la qualité d'une partie de cette production'', il est possible de régler "les problèmes de marchés, parce que les légumes sur notre marché représente une économie de 150 milliards".
"Pour émerger, il faut régler certains préalables. Il faut régler les questions de croissance (...)'', a préconisé Macoumba Diouf, pour qui "l'objectif de 7 à 8% visé'' en termes de contribution de l'agriculture, passera par l'horticulture.
JB - www.rts.sn avec Aps

OUMAR LY N'EST PLUS

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Le Photographe Oumar LY est décédé

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Une grande perte qui secoue le monde la culture. Ce matin, Podor est dans la tristesse depuis l’annonce de la disparition d’homme survenu dans la nuit du mardi, a appris Ndarinfo, de sources proches.
Photographe de renom, témoins des grands évènements du la région s’éclipse. Le vide s’empare de ceux qui l’avaient toujours considéré commun monument, une bibliothèque, le vide à Thioffy Studio, sa célèbre boite.
Né vers 1943 près de Podor, au bord du fleuve Sénégal dans le nord du pays, OumarLY détenait plus de 5 000 clichés – principalement des portraits et des photos de groupe en noir et blanc, mais également des instantanés en extérieur et des reportages, il témoigne de la vie quotidienne et de ses mutations dans la région historique du Fouta-Toro, qu'il a longuement sillonnée pendant 40 ans.
Condoléances à sa famille, à la ville de PODOR et à toute la population de Saint-Louis.
Ndarinfo
Biographie
Né vers 1943 à Podor, dans la région du Fouta, Oumar Ly découvre la photographie au contact des français installés à Podor, petite bourgade située à la frontière sénégalo-mauritanienne, le long du fleuve Sénégal.
Ce gros village est un ancien comptoir, et une escale fluviale où s’étaient installés les commerçants bordelais, qui de Saint Louis remontaient le fleuve pour développer leur commerce dès que la « pacification » leur assurait sécurité et prospérité.
Son père tenait la boutique d’un commerçant libanais, le long du quai. Après des études primaires vite écourtées, et la fréquentation de l’école coranique, il apporte son aide et sa force de travail à ses frères qui cultivent un potager et un verger. Petit vendeur de légumes, il fréquente les quartiers des militaires français installés autour du fort Faidherbe
C’est là chez Demba Tall, le meilleur pâtissier de la ville qu’il découvre pour la première fois un appareil photo et l’usage qu’en faisaient les français.
Fasciné par cette machine étrange, il économise et s’achète un premier appareil Kodak carré, à la boutique Maurel et Prom, avec lequel il s’initie à la prise de vue. Faute de matériel, il devait envoyer par courrier postal ses pellicules à Saint Louis pour y être développées.
Il a atteint ses 18 ans. A l’âge de 20 ans, voyant tous ses amis poursuivre leurs études ou commencer leur vie professionnelle loin de Podor, il s’engage dans l’armée, et réside 18 mois au camp Lat Dior à Dakar. Au terme de la durée légale, il est libéré et regagne Podor.
De retour, il décide de se consacrer à la photographie et, grâce aux bons conseils et aux enseignements pratiques de Demba Hassan Sy, qui lui prêtera un appareil Rolleiflex et lui achètera des projecteurs, il se sent en mesure, en 1963, d’ouvrir son premier studio professionnel à Podor.
Il effectue toute sa carrière de photographe dans sa région natale jusqu’à ce jour.
Son métier de photographe
A ses débuts, il pratique son métier en étroite relation avec les autorités administratives du lieu, et accompagne le plus souvent le juge de paix et son greffier en tournée dans les villages des arrondissements de Podor lors de leurs audiences foraines pour y faire des photos nécessaires aux formalités d’état-civil, n’hésitant pas, bien souvent, à partir « en tournée », avec la voiture du sous- préfet ou à pieds, seul ou avec un assistant.
Ce sera sa fonction principale pendant de longues années, et l’occasion pour lui d’attirer l’ensemble de la population de la ville et de tous les villages environnants vers le Thioffy studio, son studio situé à l’angle du marché principal de Podor.
Bientôt, il se lance rapidement dans le portrait ou la photo de groupe posée en studio. Il dispose d’un 6x6 et de 3 projecteurs ; il acquiert son premier agrandisseur un Erlek.
Il réalise ainsi une « galerie-photo » de la population de ces années, amassant plus de 5000 clichés, sur une période de plus de 40 ans.
Restant fidèle à sa ville et à son activité de photographe-chroniqueur, il continue d’aller tous les matins retrouver ses amis au Thioffy studio, partager le thé « ataya » et accueillir des clients, les « mettre en scène » pour la photo souvenir.
Jean Claude Thoret/photo Christiane Claessens février 2016

LA DROGUE AU SENEGAL ET EN AFRIQUE

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Le Sénégal, premier pays en Afrique de l’Ouest à lutter efficacement contre la drogue

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L’Organe international de contrôle des stupéfiants (Oics) a présenté ses rapports 2015 sur la drogue, ce mercredi 2 mars 2016, au Centre d’information des Nations Unies (Cinu), à Dakar. Il s’agit du rapport annuel sur les précurseurs chimiques et le rapport annuel spécial sur la disponibilité des drogues placées sous contrôle international. En effet, ces documents traitent de l’abus croissant et de la production des principales drogues sur le continent africain, et analysent comment ces tendances affectent la paix et la sécurité dans la région, en vue de la prochaine session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies (Ungass) sur le problème mondial de la drogue, prévue du 19 au 21 avril prochain, à New York.
«Il s’agit, non pas de choisir entre une action antidrogue ‘’militarisée’’ et la législation de l’usage de drogues à des fins non thérapeutiques, mais plutôt de mettre la santé physique et morale au cœur de la politique en matière de drogues et d’appliquer intégralement les objectifs et principes énoncés dans les conventions et déclarations politiques», a précisé le président de l’Oics, Werner Sipp, dans les documents. «L’augmentation du trafic et de l’abus de drogues constituent des défis majeurs pour la paix et le sécurité en Afrique de l’Ouest».
Cette observation soulignée dans lesdits rapports, selon l’Oics, a une «résonance particulière» pour le Sénégal, qui est «le premier pays en Afrique de l’Ouest à mettre en place un centre fournissant un traitement fondé sur des preuves de réussite et de soins contre la toxicomanie, notamment par le biais d’un programme d’entretien à la méthadone». Il s’agit du Centre de prise en charge intégrée des addictions de Dakar (Cepiad), qui a été créé à la fin de 2014, grâce à un programme commun de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (Unodc) et l’Organisation mondiale de la santé (Oms).
Aussi, les documents renseignent que les autorités du Sénégal et de l’Afrique de l’Ouest ont saisi une quantité croissante de produits chimiques précurseurs tels que l’éphédrine et la pseudo-éphédrine, ce qui corrobore la preuve que les Ats (stimulants de type amphétamines) sont produits sur le continent africain. Les produits précurseurs sont également, de plus en plus, trafiqués par l’intermédiaire des forums en ligne, présentant de nouveaux défis pour les autorités d’application de la loi.
Cheikhou AIDARA - Seneweb.com

SENGHOR PAR VALANTIN

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Christian Valantin : « Il faut continuer notre tradition de laïcité à la sénégalaise »

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Christian Valantin, ancien directeur de cabinet du président Léopold Sédar Senghor, estime que les Sénégalais doivent continuer leur tradition de laïcité, qui permet aux communautés religieuses du Sénégal de participer « activement » à l’œuvre de construction nationale. Une option que ne permet pas, selon la laïcité à la française.
M. Valantin répondait à une question sur les relations de Senghor avec les chefs religieux du Sénégal, notamment musulmans, lors de la présentation de son livre Trente ans de vie politique Léopold Sédar Senghor(Editions Belin, 2016, 203 pages), ce mardi 1er mars 2016 à l’Institut français de Dakar.
Cette prise de position intervient en pleins débats sur un projet de révision constitutionnelle dans lequel le caractère laïc de la République pourrait être renforcé, une disposition qui suscite des réactions de désapprobation de certains cercles religieux. Elle figure sur une liste de 15 points qui seront soumis à un référendum le 20 mars.
« Senghor a entretenu avec les chefs religieux du Sénégal des rapports qui ont été véritablement très amicaux et très respectueux. Lors de l’inauguration de la grande mosquée de Touba, en 1963, il est allé à Touba et a expliqué au pays ce qu’était la laïcité », a-t-il dit, ajoutant : « La laïcité sénégalaise n’est pas la laïcité française. Il ne faut pas du tout confondre cela ».
« La laïcité sénégalaise est même le contraire de la laïcité française, car ce que Senghor a voulu en mettant la laïcité dans la Constitution, c’est que les communautés religieuses du Sénégal participent activement à l’œuvre de construction nationale, a poursuivi l’ancien député socialiste. C’est ce qu’il a dit dans un de ses textes, dans ‘’Liberté V’’. Je pense que ce n’est pas la même chose qu’en France où, la laïcité, qu’on le veuille ou non, refoule l’action religieuse dans le privé. Et Senghor ne voulait pas de ça. »
Selon Christian Valantin, « Senghor était réaliste ». « Voilà ! Et les chefs religieux ont accepté ça. La preuve, c’est que, Dieu merci, le Sénégal est épargné et ne connaît pas tout ce que connaissent certains pays comme le Mali – qui est proche de nous géographiquement -, c’est-à-dire le terrorisme ».
Pour lui, « il faut continuer (cette) tradition de laïcité (à la sénégalaise) ». Il a toutefois indiqué que, « franchement, il y a des choses à éviter ». « Il faut faire attention. Le Sénégal vit une situation tout à fait particulière et il faut se féliciter de ce qu’on soit en paix », a-t-il insisté sans préciser les « choses » contre lesquelles les Sénégalais devraient se prémunir.
Christian Valantin a par ailleurs dit qu’il n’était « pas du tout d’accord avec les discussions polémiques que l’on peut connaître en France ». « Je dis cela parce que nous avons trop tendance à nous référer à des attitudes françaises », a-t-il déploré, soulignant : « Je crois que Senghor, sur ce plan-là, quand il parlait de voie africaine du socialisme, quand il a fait un code de la famille, un code foncier – qui n’était pas le code foncier français -, un code des collectivités locales, c’est parce que c’était sénégalais (…) »
« Il faut éviter de croire que polémiquer c’est être démocrate. La polémique est à la frontière de l’injure, et on le voit en ce moment en France », a conclu M. Valantin sur ce sujet.
Christian Valantin a été avocat, directeur de Cabinet de Senghor, député du Sénégal de 1968 à l’an 2000, directeur du Haut Conseil de la Francophonie. Dans le livre présenté d’abord à l’Institut français de Saint-Louis (25 février 2016), il raconte l’histoire d’une trentaine d’années de compagnonnage avec Senghor.
Aboubacar Demba Cissokh/legrenierdekibili.wordpress.com/Xalima.com

ON TAXE LES VISITES A GOREE

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Liaison Dakar-Gorée : Des taxes de 100 et 300 francs seront intégrées dans les tickets à partir du 15 mars

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La liaison Maritime Dakar-Gorée va adopter une nouvelle procédure à partir du 15 mars prochain. La commune de l’Ile de Gorée a décidé d’intégrer la taxe que le visiteur payait une fois arrivé sur le site touristique dans les tickets à l’embarcadère. La nouvelle taxe est établie comme suit : pour les visiteurs étrangers non résidents au Sénégal, c’est 300 francs par personne et par traversée, et 100 francs pour les visiteurs sénégalais et les étrangers résidents au Sénégal. Donc, selon Me Augustin Senghor, maire de la commune, les visiteurs sénégalais payeront 1800 francs pour la traversée en lieu et place de 1500 francs.
Il est cependant dit que les visiteurs, autres que ceux accédant à l’Ile par une desserte organisée par des opérateurs ou agences de tourisme ou distincte de la liaison Maritime Dakar-Gorée, acquitteront directement ladite taxe auprès des guichets de vente des tickets d’accès de la liaison.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du renforcement de la prise en charge des questions environnementales, sanitaires, sécuritaires mais aussi et surtout de la protection de la façade maritime « fortement menacée ». Le texte renseigne que chaque année l’Ile de Gorée reçoit des centaines de milliers de visiteurs sans que la commune et les populations n’en tirent véritablement profit. Et que ces nombreux visiteurs dégradent notablement l’environnement et le cadre de vie. Tout comme la présence continue des visiteurs cause des nuisances multiformes à l’Ile et à ses populations.
Faut-il cependant rappeler que sont exemptés de payer la taxe :
-Les Goréens ou assimilés
-Les groupes scolaires en excursion pédagogique sur l’Ile de Gorée
-Les agents et personnels d’administration publiques et parapubliques intervenant dans l’Ile dans le cadre d’une mission de service public
-Les agents et personnels des institutions et administration ayant un siège à Gorée. C’est dire les agents et personnes exerçant à titre permanent ou saisonnier, une activité professionnelle sur le territoire communal.
Fatou Sakho/SENENEWS.COM

DES KHALIS POUR LE TOURISME ET LES RECEPTIFS

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L'Etat décaisse 5 milliards de F CFA en soutien aux entreprises hôtelières et touristiques

senegal

Le gouvernement sénégalais a décaissé une enveloppe financière de 5 milliards de francs CFA, dans le cadre du programme « Crédit Hôtelier et Touristique », pour soutenir les entreprises hôtelières et touristiques, indique un communiqué du ministère du Tourisme et des Transports aériens, paru mercredi.
«Le Crédit Hôtelier et Touristique est un fonds d'un montant de 5 milliards de francs CFA destiné à apporter un soutien aux entreprises hôtelières et touristiques», précise le communiqué reçu du ministère.
Selon le document, c'est «une initiative majeure» du chef de l'Etat visant à «assurer les conditions de la relance» du secteur touristique et à atteindre les objectifs poursuivis dans le Plan Sénégal émergent (PSE).
«Le Micro-Tourisme est un des projets phares du PSE ayant pour objectif de développer un tourisme éthique, responsable et solidaire. Il est considéré comme un véritable levier de repositionnement de la Destination Sénégal à travers la valorisation des patrimoines culturels et naturels», poursuit la même source.
Le Micro-Tourisme a été conçu, d'après le document du département de Maïmouna Ndoye Seck, pour être un «vecteur de développement» social et territorial en vue «d'accélérer la croissance» du secteur touristique et «d'augmenter les retombées locales» du tourisme en enrichissant l'offre des micro-entrepreneurs.
Une rencontre d'échanges sur le Fonds dénommé « Crédit hôtelier et Touristique » et le projet Micro-Tourisme avec les acteurs de ce secteur est prévue jeudi à Dakar et sera présidée par le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck.
Mariama Diémè/Lignedirecte/Sen360


LA MINISTRE DU TOURISME VOYAGE...

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EN VISITE DANS LES RÉGIONS À PARTIR DE JEUDI

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Le Ministre du Tourisme et des Transports Aériens entame, à partir de jeudi, une tournée dans les régions de Saint-Louis, Ziguinchor et Fatick dans le cadre de la relance du secteur touristique.
Le Ministre Maïmouna NDOYE SECK sera d’abord à Saint-Louis dans le cadre de la redynamisation du Programme de développement Touristique de Saint-Louis (PDT) et de la relance du tourisme de manière générale dans la région.
Cette visite qui pend fin dimanche sera marquée par la tenue d’un CRD, le passage en revue des chantiers du Programme de développement touristique de Saint-Louis, une visite au parc naturel de Djoudj et à l’aéroport de Saint-Louis ainsi que des réceptifs.
Mme Seck sera à partir du 10 mars dans la région de Ziguinchor où elle présidera, entre autres, un CRD autour des projets de relance du tourisme en Casamance.
La première étape de cette tournée sera bouclée par une visite dans le Delta du Sine Saloum, dans la région de Fatick, durant le mois d’avril, selon le communiqué, ajoutant que Maïmouna NDOYE SECK se rendra dans les régions de Tambacounda, Kédougou et Louga courant mai.
MTTASN

L'AGRICULTURE SENEGALAISE A PARIS

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SALON INTERNATIONAL DE L'AGRICULTURE DE PARIS
le Sénégal à l’honneur

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Le Sénégal sera à l’honneur ce jour à Paris. En effet, le Salon international de l’agriculture a décidé de déclarer ce jeudi « Journée du Sénégal ». Ce sera l’occasion pour les autorités sénégalaises présentes à cette rencontre mondiale de faire connaître davantage les produits que développent notre pays dans le secteur agricole, mais aussi d’expliquer les multiples chantiers entamés pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Pour la première fois de l’histoire du Salon d’ailleurs, la délégation sénégalaise est conduite par le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, qui a, à ses côtés, son collègue de l’Elevage, Aminata Mbengue Ndiaye.
Au delà des projets, directions et programmes du département de l’Agriculture ou de l’Elevage, plusieurs entités sénégalaises sont représentés à cette édition. C’est ainsi qu’on a remarqué une forte délégation du Tracto Service Equipement (TSE) conduite par son président directeur général Cheikh Amar. Hier, ce dernier a fait le tour des stands sénégalais avant de booster les différentes structures représentées.
Après plusieurs minutes passées devant les stands, il a encore plaidé pour une mécanisation de l’agriculture qui, selon lui, est la seule voie pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Il saluera à cet effet les différentes mesures prises par le Président de la République, Macky Sall, à travers son ministre de l’Agriculture, pour une agriculture forte et mécanisée.
On aura aussi remarqué la présence du FONGIP, de la BNDE, de la SAED, de l’ISRA, du Port Auto- nome de Dakar, du COSEC etc. De plus, les différents aliments produits au Sénégal étaient exposés dans un stand qui grouillait de monde. A noter que Papa Abdoulaye Seck a reçu son homologue ivoirien de l’Agriculture qui n’a pas manqué de se féliciter des programmes agricoles en cours au Sénégal et qui visent à garantir une autonomie alimentaire à notre pays
Dakaractu

ORIGINAL: PÂQUES DANS LE SALOUM

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Après le succès du réveillon du nouvel an, les Aventuriers du Saloum vous proposent pour les fêtes de Pâques (26 27 mars 2016) un moment exceptionnel au delta du Saloum

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Au programme :
Rires, recherche des œufs de pâques dans la mangrove, musique, bonne humeur....
Samedi 26 mars 2016
: Départ 10h de Ndangane a bord de notre pirogue, visite de l'ile de Marlodj.
Déjeuner sur l'ile.
L’Après midi direction djiffer ( port de pêche artisanal) pour rejoindre l'île de Dion war.
Arrivée sur l'ile :
-Verre d’accueil.
-Temps de repos
- Soirée dansante.
Dimanche 27 mars 2016:
Petit déjeuner pied dans l'eau
Visite de l.île de falia..
- Animation, séance de combat de lutte traditionnelle, baignade.
- déjeuner à 13 h
-sieste, thé à la menthe.
Retour à Ndangane à 17 h
Pour cet événement spécial, nous avons mis les petits plats dans les grands et avons prévu à nos convives de grands moments, culinaires, de musicalité et de convivialité !
Et avec ça, boissons à volonté, il y en aura pour tous les goûts ! Avec ou sans alcool, on vous promet des jus, des boissons sucrées, bière, punch, vodka, cocktail, wisky...
· Pour les animations
Du matériel de sonorisation sera amené, pour diffuser de la musique afin que nous puissions chanter, danser et fêter ensemble tout au long de la nuit !!
Pour tout infos:
Tel: 00 221 77 972 99 94
mail: pierrediouf99@hotmail.com
"Si le hasard vous a amené, le bonheur vous ramènera"

ORPHELINAT A CABROUSSE (Casamance)

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Le Cocon de Cabrousse

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Nous sommes un petit orphelinat de 32 enfants et 11 "tatas" en Basse-Casamance, une région du bord de mer tout au sud du Sénégal. Et dans le but de mieux faire connaître l'association française loi 1901 de même nom qui le gère, nous tentons de trouver sur les web les adresses d'ONG œuvrant au Sénégal et plus largement à l'international, mais aussi de particuliers ou fondations en rapport avec la Casamance ou plus largement l'Afrique de l'Ouest, la région de Cotignac ou ayant une activité philanthropique ou d'aide à la personne.
En espérant que cela pourra déboucher sur une action concertée sur le terrain en faveur des enfants et/ou peut-être l'obtention d'une aide même minime de votre part.
Pour plus d'informations, voici le lien vers le dernier bulletin :
http://lecocondecabrousse.over-blog.com/2015/12/decembre-2015-anniversaire-des-3-ans-du-cocon.html
Pour soutenir activement le Cocon : Formulaire d'adhésion / Formulaire de don
Tout don supérieur à 20 € vaut pour adhésion. Un micro-virement mensuel de 5€ pendant 1 année, soit 60€ cumulés, nourrit un enfant
pendant 1 mois mais ne vous coûte que 15€ après déduction fiscale (75%). Doublez la mise et vous l'habillez en plus pour 6 mois...
Coordonnées bancaires : IBAN FR76 1910 6000 0343 6267 4015 591 / BIC-swift AGRIFRPP891
Compte Paypal : http://tinyurl.com/paypal-cocondecabrousse/

EVENEMENT A NDANGANE (SINE-SALOUM)

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MISS SINE SALOUM 2016

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Les 13-14-15 mai aux Cordons Bleus, Ndangane
Tout le Delta du Saloum est déjà en route vers la 6ème édition de Miss Sine Saloum.
Les promoteurs, le couple Lena et Lionel, (Hôtel Cordons Bleus) ont commencé l’aventure en 2010 avec Dona et Bruno Corto (MISS EVENTS MAROC à Agadir)
Au fil des années, cette manifestation est devenue l’évènement annuel promotionnel, culturel et social incontournable pour toute la Région.
Démarré de manière artisanale, Lena et Lionel ont su progressivement susciter l’intérêt des médias, notamment par le fait que MISS SINE SALOUM, n’est pas qu’un défilé de mannequins, comme cela se passe un peu partout, mais un mini festival qui s’étale sur 3 jours, avec un
programme diversifié tendant à la promotion de la Région et de la culture sérère.
Au niveau de la couverture médiatique télévisuelle, c’est la TFM qui sera en première ligne, accompagné de la LCS, 2STV, SENTV. Tous les sites internet people et d’infos (SENEWEB, LE 221, AUSENEGAL.COM, SENEGAL ON LINE, JOTAY.NET, TERALTRAVEL.COM, SENGALBLACKRAINBOW………)
Du fait de cette forte médiatisation, MISS SINE SALOUM a attiré petit à petit de nombreux partenaires institutionnels et privés, permettant de monter en puissance d’année en année. Pour cette 6° édition, ont apporté leur concours : L’Etat Du Sénégal, ainsi que les autorités de la
Région, au niveau institutionnel, et à titre privé, le Groupe SUNU ASSURANCES, SIVOP (Produits cosmétiques), MECHES LINDA, pour ne citer qu’eux.
Tous ces soutiens constituent une forme de reconnaissance à l’investissement de Lena et Lionel pour la promotion de la Région.
La dernière édition avait réuni près d’un millier de personnes, un véritable exploit pour l’arrondissement de Fimela
MISS SINE SALOUM se déroule cette année sur tout le weekend du vendredi 13 au dimanche 15 mai, avec en point d’orgue la soirée du samedi 14 mai avec des moyens techniques énormes: écran géant, feux d’artifice…
Le volet social impactera largement sur les populations avec notamment la consultation médicale gratuite avec dons de médicaments et dépistage volontaire du cancer du col de l’utérus avec le concours des autorités sanitaires de l’arrondissement de Fimela le vendredi 13, distribution de fournitures scolaires sur l’île de Mar Lodj le dimanche 15 à l’occasion de la célèbre messe aux Tam-tams.
Côté culturel, la troupe de Djilor, les griots de la troupe Saf Saf, et les lutteurs se feront les ambassadeurs de la culture sérère. Pour la grande soirée du 14, KYA LOUM, la reine de la Soul, une artiste de renommée nationale sera en concert en première partie de soirée avant le show offert par les candidates.
Concernant les candidates, toutes sont naturellement originaires de la Région (Toubacouta, Fatick, Kaolack, Mar Lodj, Djilor, Ndangane, Boyard…….). 12 d’entre elles ont été retenues pour la finale parmi un choix de près de 80.
Avec l’appui des nombreux partenaires, il est veillé tout particulièrement à motiver et accompagner les candidates par une prise en charge correcte de leurs frais de déplacements, et de leur hébergement en pension complète.
A la fin du concours, elles reçoivent toutes une prime financière, ainsi que de nombreux cadeaux (séjours offerts dans des hôtels, bons d’achats…).
Cette promotion 2016 est exceptionnelle, car les finalistes retenues viennent de loin et sont vraiment représentatives de la magnifique région du Sine Saloum?
Programme de ce grand week-end Miss Sine Saloum 2016 :
1/Vendredi 13 Mai:
- 9H : Consultation médicale gratuite avec les autorités sanitaires de la région, avec
dons de médicaments aux personnes de la zone et dépistage volontaire du cancer
du col de l’Utérus aux Cordons Bleus
- Installation des convives dans les structures d’hébergement
- 21H : Spectacle Sérère : Danses et Lutte traditionnelle
- 22H30 : Soirée organisée au Ndangane Café, pour une pré-présentation au village
des candidates. (ambiance discothèque)
2/Samedi 14 mai :
- 16H : Défilé dans le village de Ndangane, samedi après-midi avec les Miss, les
clients de l’hôtel, les chaines de télé, la presse ainsi que l’ensemble de nos
partenaires médias, sur des calèches, animation par la troupe de Griot Saf Sap. Le
cortège sera escorté par des djakartas, quads et survolé par les autogires de
l’aérodrome de Saly. Les Miss seront embarquées au ponton du village sur une
flotte de pirogues pour un tour dans nos bolongs, jusqu’au ponton de l’hotel,
accompagné par tous les médias, et les clients
- 21H : après installation des convives à table, KYA LOUM, la reine de la Saul, se
produira en concert pour un show son et lumières exceptionnel avec ses plus
grands tubes.

Renseignements et réservations: 774038056 cordons-bleus@orange.sn

LES QUAIS OK EN JUILLET

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les quais de pêche de Ngaparou et Pointe Sarene livrés en juillet

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Les quais de pêche agrès de Pointe Sarene et de Ngaparou seront livrés dans la première quinzaine de juillet, a annoncé jeudi le chef du service départemental de la pêche et de la surveillance, Marc-Emilien Coly.
’’La réception de ces deux mini-quais agrés est prévue d’ici la mi-juillet 2016’’, a précisé M. Coly à des journalistes participant au tour-press de l’Agence japonaise coopération internationale(JICA).
Les deux infrastructures en phase de finition sont financées par contribution non remboursable du Japon d’un montant de 413 millions de francs CFA.
Elles sont construites dans le cadre du projet de promotion de la cogestion des pêcheries pour le développement d’une chaîne de valeur (PROCOVAL).
’’Nos produits halieutiques souffraient d’un problème de prix à l’exportation, faute de quais de pêche de débarquement aux normes. Avec la réception de ces deux quais les acteurs de la pêche vont gagner plus’’, a-t-il salué, au terme d’une visite guidée du chantier de Pointe Sarene
Le PROCOVAL vise la mise en place d’un schéma directeur de développement d’une chaîne de valeur poulpe pour le marché japaonais, du poisson frais pour l’Europe.
Au delà de la construction des quais de pêche, le projet travaille également pour la promotion de la cogestion des pêcheries pour une meilleure préservation des ressources de la mer.
MS/OID/APS

LA PLUS GRANDE CENTRALE SOLAIRE DE L'AFRIQUE DE L'OUEST SERA SENEGALAISE

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lancement des travaux de la plus grande centrale solaire de l’Afrique de l’Ouest

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Synergy PV SA vient de lancer ce vendredi 4 mars, la construction de la centrale solaire photovoltaïque à Santhiou Mékhé dans la région de Thies (70km de Dakar). La cérémonie de pose de première pierre a était présidée par le directeur de cabinet du ministre de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables, Mor Mbaye, en présence de l’ambassadeur de la France au Sénégal, Jean Félix Pagayon.
Plus grande centrale solaire de l’Afrique de l’Ouest avec une capacité de 30MW pour un coût de 27 milliards de F Cfa, son financement est entiérement mobilisé par PROPARCO et les actionnaires.
Pour Mathieu Peller, Directeur Synergy Meridiam, » la centrale va participer à la réduction du taux de CO2 de 34 000 tonnes. Elle participera aussi à la diversification du mix énergétique du Sénégal à hauteur de 20%. »
Le projet est le résultat d’une convention entre le fonds souverain d’investissements stratégiques (Fonsis), SENERGY PV SA et MERIDIAM (groupe de promoteurs privés).
La société SENERGY PV SA est née du partenariat stratégique entre Meridiam, FONSIS et la société Senergy Suarl.
« Avec cette centrale et son raccordement au réseau ayant nécessité 27 milliards de FCFA d’investissement, 30MW seront mis à la disposition de la SENELEC…. Elle participera aussi à l’atteinte de ses objectifs», déclare Amadou Hott, Directeur du Fonsis.
Pour rappel, c’est le 14 janvier dernier que le Premier ministre du Sénégal, Mouhamed Boun Abdallah Dionne , avait procédé à la signature de la convention avec les actionnaires de SENERGY PV SA. L’inauguration de la centrale solaire est prévue pour le mois de décembre 2016.
Amadjiguéne Ndoye/FinancialAfrique


FINI LES TALIBES A DAKAR MEDINA

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Quatre ans après la mort des neuf talibés : Bamba Fall interdit la mendicité à Médina

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Dans le cadre de l’éradication de la mendicité, la Médina a largement contribué à cette lutte pour l’affaiblissement de l’exploitation et de la maltraitance des enfants. C’est pourquoi le Conseil municipal de cette commune d’arrondissement a voulu prendre des dispositions adéquates pour mettre fin à cette problématique, rapporte le journal Direct info.
La décision est prise. Le maire de la Commune d’arrondissement de la Médina, Bamba Fall, a décidé de passer à la vitesse supérieure en interdisant la mendicité publique dans le périmètre communal de la localité qu’il dirige. Vu la constitution, vu la loi 2013 du 28-12 2013, et les articles qui l’entourent, il fait savoir que la maltraitance et l’exploitation des enfants seront aussi interdites. « Le Conseil municipal a décidé d’interdire la mendicité publique dans la commune de Médina », a-t-il déclaré, insistant sur le fait que les écoles coraniques clandestines et irrégulières ne répondant pas aux normes sécuritaires et sanitaires en vigueur seront sommées de fermer sans délais.
L’édile de la commune de Médina est même allé plus loin en annonçant que toute création d’un nouveau « daara » fera l’objet d’une étude suivie d’autorisation de la commune après vérification de toutes les conditions préalables. « Toute personne morale ou physique ne respectant pas ces conditions sera punie conformément à la loi en vigueur », a-t-il dit. Selon lui, la protection des enfants est une priorité de la commune qui a reçu de l’Onudc un financement de plus de 50 millions FCfa pour lutter contre ce fléau. « Et depuis deux ans, nous y sommes. De cette enveloppe et celle prévue par la mairie, nous aiderons les « daaras » qui ne sont pas en règle et qui ne sont pas dans les conditions les meilleures. Nous leur donnerons aussi une enveloppe conséquente afin qu’ils puissent trouver des "daaras" ailleurs pour aider les enfants dans leur éducation », a encore dit le maire socialiste.
Leral.net

PAS D'HOMOS SOUS MACKY SALL

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Macky Sall : « L’homosexualité ne sera jamais légalisée au Sénégal, tant que je serai président »

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Le pouvoir ne compte laisser aucun terrain à ses adversaires regroupés autour du Front du « NON » dans la campagne pour le référendum du 20 mars prochain. Le président de la République, Macky Sall a décliné, hier, au chef religieux son objectif qui était d’une part, de lever les équivoques entretenues par l’opposition et les forces hostiles sur les réformes proposées au prochain référendum. Alors qu’une confusion s’est installée au sujet de la légalisation de l’homosexualité et de la remise en cause de la laïcité, le Président Sall a tenu à donner la bonne information aux dignitaires religieux. « Tant que je serai président de la République du Sénégal, l’homosexualité ne sera jamais légalisée », a-t-il répété devant des invités très attentifs au discours du Président Sall.
Macky Sall a rappelé avoir assumé cette position à maintes occasions. Et de citer la visite que Barack Obama avait effectuée à Dakar. D’autre part, le chef de l’Etat a tenu a précisé n’avoir jamais eu l’intention de toucher au caractère laïc de l’Etat. Bien au contraire, il confie avoir eu l’intention de fortifier cette position, en rendant cette disposition de la Constitution « intangible ». Mais, comme « certains esprits ont voulu entretenir un amalgame autour de la question », le Président rapporte avoir préféré laisser les dispositions contenues dans la Loi fondamentale.
Après les explications détaillées sur le sens des réformes et leurs portée, Macky Sall a exhorté les chefs religieux et les différents représentants des grandes familles à porter la bonnes parole au près des populations, rapporte « L’Observateur ».
Pressafrik

"PAGANON DEMISSION!"

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L'ambassadeur de la France est accusé de s'être immiscé dans la politique intérieure du Sénégal

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La Coalition pour le redressement du Sénégal qui n’apprécie pas les prises de positions publiques de Jean Félix Paganon, a manifesté son indignation auprès des autorités françaises, apprend KOACI.COM.
En effet selon des informations qui nous sont parvenues, les membres de la Coalition pour le redressement du Sénégal ont saisi par lettre, le président François Hollande pour se rebeller contre ce qu’ils qualifient « d’activités politiques de l’ambassadeur de France »’ et demander son remplacement « ’sans délai ».
Mamadou Mouth Bane et ses camarades ont dans la correspondance adressée au président français, reproché à M. Paganon de prendre sans réserve « des positions inadmissibles dans la politique intérieure » du Sénégal.
Prenant pour exemple, l’émission « ’Grand Jury »’, de la Rfm du 8 mars de l’année dernière, ledit mouvement a évoqué l’avis du Conseil constitutionnel commenté au mois de février dernier par le diplomate français.
Pour eux le comportement de l’ambassadeur de la France manifesté par ses positions « heurtent la dignité des Sénégalais et bafouent leur souveraineté en tant que pays indépendant ».
Et qui en les en croire « se comporte irrespectueusement comme le porte-parole du parti au pouvoir. Ces agissements injustifiables constituent une menace contre les intérêts de la France et nourrissent un sentiment anti-français au Sénégal ».
Rappelons que Jean Félix Paganon Rechercher Jean Félix Paganon avait prit position sur l’affaire Karim Wade, le fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade emprisonné depuis 2013 pour enrichissement illicite. Ce qui lui avait valu au temps des tires groupés de la part des lieutenants de Wade.
Récemment le Quay d’Orsay avait salué la décision du Président Macky Sall de se conformer à l’avis du Conseil constitutionnel qui lui interdit de réduire son mandat en cours. Dans un entretien de l’ambassadeur de la France au Sénégal après le Wax waxett du Président Sall disait que :
« La décision du Président Sall renforce le Conseil constitutionnel. Le Président Macky Sall propose, le Conseil lui dit non, il respecte l’avis. C’est quand même, si j’ose dire, logique et cohérent ».
Sidy Djimby Ndao/koaci.com

DE BONS CHIFFRES

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Le déficit commercial du Sénégal réduit de 41,7 milliards en janvier

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Le déficit commercial s’est réduit de 41,7 milliards en janvier sur une base mensuelle pour s’établir à 77,6 milliards contre 119,3 milliards le mois précédent, selon la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE).
"Cette situation reflète la baisse plus prononcée des importations de biens (-82,8 milliards) par rapport à celle des exportations (-31,2 milliards), en variation mensuelle’’, explique la DPEE dans Le point mensuel de conjoncture publié au plus tard 30 jours après la fin du mois.
"Ainsi, le taux de couverture des importations par les exportations, s’est établi à 52,4% contre 48,3% un mois auparavant, soit une amélioration de 4,1 points’’, mentionne le document consulté par l’APS.
lignedirecte.sn

FLUCTUATION DES CHIFFRES...

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L’activité économique en net recul de 15,7% en janvier 2016

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L’année 2016 démarre par une chute dans le secteur de l’activité économique qui a enregistré une contreperformance évalué 15,7%, en variation mensuelle, cela hormis le secteur de l’agriculture et de la sylviculture, selon la note de conjoncture établie par la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE).
Ce recul est imputable aux faibles résultats des secteurs tertiaire et primaire qui enregistrent respectivement des baisses de 11,3% et 4,7%. Toutefois, souligne la DPEE, sur une base annuelle, une croissance de 2,7% de l’activité est notée en janvier 2016. Cela est favorisé par la bonne orientation des secteurs tertiaire (+3,9%), primaire (+4,2%) et secondaire (+2,2%). L’administration publique s’est également bien comportée sur la période avec une progression de 4,9%.
Pressafrik

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